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D’Amsterdam à Göttingen, Anne PEKO chante Brel et Barbara

Jeudi 9 septembre à 20 h 45 Cinéma Sainte Barbe à Roscoff

Billetterie Office de Tourisme de Roscoff dès le 20 août

et sur place avant le concert

Plein tarif : 15 € - Adhérents 12 € - Scolaires/étudiants < 28 ans : 10 €

Placement libre

 

 

Hommage original à Brel et Barbara

Un spectacle à voir absolument !

 

Une artiste à découvrir ICI

« Chanteur, auteur, compositeur et comédienne, Anne PEKO s’est produite sur de nombreuses scènes à Paris, en province, à l’étranger ainsi que dans de nombreux festivals. 

Elle nous propose un émouvant voyage dans l’univers de Brel et Barbara.

Anne Peko est flamboyante, subtile et puissante. Elle passe du velours à l’acide, de l’humour à l’émotion et parvient à faire oublier ceux à qui elle rend hommage. 

Voix troublante, passion intacte, sensibilité à fleur de peau, parfois déroutante, toujours hors du commun.

Un magnifique hommage, refusant toute imitation »

 

 

 

Un émouvant voyage à travers les textes  de Brel et Barbara qui se répondent en écho dans ce savoureux programme.  

Véritable hymne à l’amour, cet itinéraire rougeoyant et flamboyant nous conduit d’Amsterdam à Vienne, de Shanghaï à Bangkok, de Marienbad à Göttingen en passant par Liège.

Véritable gageure que de faire dialoguer les voix de ces deux géants, pari réussi : le public s’enflamme avec la « Peko », toute de rouge vêtue, qui sait les interpréter, tant avec légèreté qu’intensité.

LA MARSEILLAISE – Katia Ranieri (Festival d’Avignon juillet 2006)

Il était une fois… des rencontres… des hasards… des souvenirs… qui ont tissé le fil de ce projet.

Je me souviens, petite fille, de Barbara, qui venait chanter dans un cabaret « Le Refuge » à Abidjan, ma ville natale. C’est en lisant « Il était un piano noir » que j’ai réalisé l’importance de son vécu dans cette ville où j’ai passé mes quinze premières années…

Puis plus tard, lors d’un récital,en Hongrie, le soir de mon anniversaire, j’apprends par fax,

sa disparition et on me demande de chanter « l’Aigle Noir », l’unique texte en possession des étudiants hongrois,. L’émotion est vive !…

Il y a aussi cette promenade sur une plage du nord après un concert en Belgique où je venais d’interpréter quelques chansons de Brel, et où je me mets à rêver d’une rencontre possible quelque part entre « Amsterdam et Göttingen ». L’étranger est présent, le sud et le nord s’épousent. J’aimerais un voyage musical avec eux.

Anne Peko

 

 

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